Édito : SNCF, quelle voie ?
Les trois acteurs de la tragédie ferroviaire française à venir sont désormais bien en place.
Chrétiens, libres, engagés depuis 1941
Les trois acteurs de la tragédie ferroviaire française à venir sont désormais bien en place.
Aux Bernardins, répondant à l’invitation de la Conférence des évêques, Emmanuel Macron réussit son oral haut la main. Restent les travaux pratiques. Comment l’humanisme réaliste est-il humain face à la réalité des réfugiés et au malheur des migrants. Nous y reviendrons plus longuement dans notre lettre. En attendant, voici le récit de notre journaliste Philippe Clanché.
Alors que le référendum d’autodétermination doit se tenir en novembre, l’historienne Sarah Mohamed-Gaillard* évoque les efforts de tous les acteurs locaux comme de l’État pour assurer l’avenir.
On connaît mal son nom, son visage, son projet. Il va pourtant avoir la lourde charge de redonner vie à un Parti socialiste moribond et de donner corps à une opposition « de gauche » à Emmanuel Macron. Portrait.
Nicolas Sarkozy a été mis en examen dans l’affaire libyenne pour des faits d’une extrême gravité, passibles d’une peine d’emprisonnement de dix ans. Une mise en examen, même si elle suppose des indices graves et concordants, ne vaut pas, très loin de là, condamnation.
Il peut être heureux, il fait l’unanimité. Contre lui, certes, et avec la notable exception de Jean-Luc Mélenchon, qui se répand dans tous les médias pour dire qu’on ne peut plus parler tranquillement. Mais, au fond, à quoi joue Laurent Wauquiez ?
Montrez moi tous les dans tous les