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À chaque campagne européenne, tel le ludion, l’Europe sociale refait surface, même si c’est, semble-t-il, avec de moins en moins de conviction de la part de ceux qui en font la promotion. Pourtant, les solutions existent.
Depuis janvier dernier, sur un mur de la rue d’Aubervilliers, dans le 18e arrondissement de Paris, une fresque revisite La Liberté guidant le peuple, mythique huile sur toile d’Eugène Delacroix exposée au Louvre.
Nous avons beaucoup de reproches à faire à une Europe fort éloignée de nos rêves. Mais que serait notre vie sans la construction européenne ? C’est à ce périlleux exercice qu’Éric Vial a bien voulu se risquer ; une uchronie pour nous consoler de nos utopies
Au départ, il s’agissait de s’unir sur les débris d’un continent ravagé par la guerre et des années de conflits larvés. Et la paix reste sans nul doute la plus grande victoire de l’Europe. Aujourd’hui, même si tout reste perfectible, il y a d’autres bonnes raisons de se réjouir d’y vivre.
L’Europe avance, la plupart du temps avec l’inertie d’un paquebot, parfois plus vite, sous l’effet d’événements imprévus ou d’une volonté politique affirmée. Florilège.