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Comme si de rien n’était est un film allemand qui ressemble à son titre (Alles ist gut pour le titre original, « Tout va bien »). Et cependant, ce n’est pas si simple...
Michel Leclerc, le réalisateur du Nom des gens, qui avait fait venir Lionel Jospin en chair et en os dans son film, garde le cap à gauche pour son nouveau long-métrage, La Lutte des classes, titre à double entrée comme on va le voir.
Le contexte historique du film israélien Les Témoins de Lendsdorf est inspiré d’un massacre perpétré en Autriche. La recherche d’une fosse commune contenant deux cents cadavres juifs a débuté à la fin de la Seconde Guerre mondiale et a repris dans les années 1980 avant d’être à nouveau arrêtée.
Dans un site magnifique, à quelques kilomètres d’Aix-en-Provence, l’abbaye bénédictine de Jouques rassemble quarante-deux religieuses de 26 à 82 ans. Une jeune documentariste, Cécile Besnault, les a filmées au jour le jour.
La jeune Margot, visage fermé, débarque dans une résidence isolée en pleine campagne. Une femme d’un certain âge, plutôt sympathique, lui présente les résidents, Jérémy, Salomé, César, Sonia et les autres. Ils ont entre 18 et 50 ans et un point commun : ils sont dépendants à l’alcool et aux drogues.
On se souvient du Déclin de l’empire américain du Canadien Denys Arcand, qui fustigeait avec humour il y a une trentaine d’années l’égoïsme et l’hédonisme du monde occidental, et des Invasions barbares qui l’avaient suivi quelque quinze ans plus tard. Voilà que le réalisateur clôt sa trilogie avec une fiction brillante et tout aussi pertinente, La Chute de l’empire américain, où l’argent tient le premier rôle.