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« Œil pour œil, dent pour dent » (Ex 21, 24) : nos sociétés qui montrent leurs gros muscles semblent souvent plus proches des codes anciens que de la Déclaration des droits de l’homme !
Nous nous posons continuellement de fausses questions : demain, l’an prochain, et après, que va-t-il se passer ? J’ai peur, j’hésite, je tremble… et ne fais rien, figé·e dans mon inquiétude. Et si j’apprenais à vivre à plein, d’abord la minute qui est là et ensuite seulement la minute, nouvelle, qui est à nouveau là ? Ça change pas mal l’horizon.
Que craignez-vous le plus ? Le chômage, la mort, la souffrance, la perte d’un proche… ? Il existe mille et une raisons d’avoir peur, au fil des jours. La peur tétanise et engendre une peur encore plus envahissante. Quittons cette vieille folle qui nous empêche d’avancer.
La vérité ne s’apprend pas seulement dans les livres de philosophie. La vie quotidienne des simples, des petits, de ceux qu’on ne voit pas, nous en dit souvent plus que toutes les bibliothèques du monde : il suffit de prendre le temps de voir et d’écouter.
Dans l’Évangile de Luc, le ministère public de Jésus s’ouvre de manière singulière, ni miracle, ni guérison, mais une prédication, une parole. Et on perçoit dans ce récit un condensé de tout l’Évangile, tous les ingrédients sont déjà présents.
Lorsqu’on commence un travail, une œuvre, une vie, on en envisage inévitablement la suite. Le futur de l’entreprise initiale ne se déroule pas toujours sans détour : bien des bouleversements surviennent, des surprises, des accidents. Que nous disent-ils alors ?