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La conjoncture sociale est paradoxale : d’un côté, les raisons à même de générer une conflictualité élevée sont nombreuses, de l’autre, force est de constater que, faute notamment d’unité d’action syndicale, la mobilisation peine à s’affirmer.
C’est trop facile de faire de charmantes et romantiques déclarations d’amour ! L’enfer, dit-on, est pavé de bonnes intentions. Mais, au fait, que faisons-nous pour authentifier nos plus belles déclarations ?
Que s’est-il passé à Petrograd dans la nuit du 6 au 7 novembre 1917 – du 24 au 25 octobre selon le calendrier julien alors en vigueur ? Un coup d’État ou bien une insurrection populaire conforme à l’idée que Marx se faisait de l’instauration du communisme par le renversement de la bourgeoisie par les masses prolétariennes ?
La cinéaste Mariana Otero était dans la foule des manifestants qui, le 31 mars 2016, investirent la place de la République à Paris pour ne plus la quitter jusqu’à l’été en devenant un mouvement baptisé Nuit Debout.
La grammaire est une norme, des règles. Nous avons ainsi appris que « le masculin l’emporte sur le féminin ». Il suffit d’un substantif masculin pour que tout s’accorde à lui aux dépens des éléments féminins. Cette règle à elle seule explicite ce que notre langue exprime de toutes les façons possibles, l’expression d’un monde de domination masculine.
C’est une victoire pour les pacifistes et tous les opposants aux armes nucléaires. Et, pour Jean-Marie Muller, membre fondateur du Mouvement pour une alternative non-violente, elle est loin de n’être que symbolique.