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Le christianisme, pas plus que le judaïsme, n’est une religion du livre. Les mots n’y sont pas sacrés ; le texte ne donne pas de réponses, bien au contraire, il fait résonner une parole qui donne la parole. C’est cette riche expérience qui est proposée depuis deux ans au Centre Sèvres à Paris.
1968. Alors qu’un vent de liberté parcourt toute la planète, le Vatican condamne la pilule contraceptive en prenant à contre-pied le mouvement d’émancipation qui irriguait aussi l’Église catholique. En se recentrant sur la notion de « nature », il s’éloigne des préoccupations sociales pour s’intéresser principalement à la morale sexuelle.
« Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, les mots pour le dire arrivent aisément. » (Nicolas Boileau.) Les mots, journalistes, hommes et femmes politiques, éditorialistes et analystes de tous bords n’en manquent pas. Ils coulent et découlent en un flux ininterrompu. Mais pour la clarté… à force de sophismes, néologismes, expressions-valises, tout cela finit par ne plus rien vouloir dire.
La démondialisation est-elle la clé de l’avenir de l’humanité ? Comment vivra-t-on demain sur notre planète, toujours plus nombreux, dans un monde marqué par l’accélération des déplacements, des transferts d’information, un amenuisement des ressources et la robotisation des tâches ? À l’heure où une mue profonde de notre système économique semble inéluctable, la mondialisation doit-elle être remise en cause ?
L’Europe vient de se doter d’un « Règlement général sur la protection des données » qui devrait protéger l’internaute. Et l’urgence est réelle, tant la moindre information nous concernant est traquée sur Internet pour en faire commerce.