Sous le ciel de Dhaka
Le pape François a attendu d’être au Bangladesh, le 1er décembre, pour prononcer leur nom. « Rohingya », le nom qui fait leur malheur, est devenu, a-t-il déclaré, celui de la « présence de Dieu ». Les précautions diplomatiques dont il avait usé jusque-là n’ont pas tenu devant l’indicible douleur des réfugiés.