Chrétiens, libres, engagés depuis 1941
Henri Lastenouse
En mai 2019, nous élirons le prochain Parlement européen. L’heure est grave, nul ne l’ignore, et il y a de quoi se désoler de voir à quelle sauce politicienne les membres de l’Union s’apprêtent à se (nous ?) manger.
Faut-il nous laisser polluer notre rentrée par les ténors populistes et leur phobie migratoire ? Fin août, le Premier ministre hongrois Victor Orban et le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini sifflaient la rentrée des populistes du vieux Continent lors de leur rencontre à Milan. « Matteo Salvini est mon héros », n’a pas manqué de s’enthousiasmer le leader hongrois…
Theresa May a séquestré son gouvernement dans sa résidence de Chequers sans téléphones. Il en est ressorti une feuille de route acceptée par tous sur le coup, mais reniée dès le lendemain par les ministres « brexiters » les plus durs, qui ont quitté le gouvernement.
Depuis le 1er juillet 2018, l’Autriche occupe la présidence tournante de l’Union européenne. Y a-t-il lieu de s’en inquiéter ? Le journaliste Lorenzo Consoli, spécialiste des institutions européennes et ancien président de l’Association internationale de la presse à Bruxelles, nous répond.
Le retour des extrêmes, non pas dans les urnes mais à la tête de certains États membres de l’Union, interroge durement le projet européen.
Cristiano Ronaldo a conclu avec le fisc un accord à l’amiable l’engageant à verser une amende de 18,8 millions d’euros. Notre quintuple Ballon d’or a également « accepté » une peine symbolique de deux ans de prison. « Symbolique » puisque le droit espagnol prévoit pour les premières infractions qu’une peine inférieure ou égale à deux ans peut être effectuée sous le régime de la probation. Bref, selon bien des critères du « commun des mortels », notre homme aurait tout aussi bien pu passer sa soirée loin des terrains, voire en prison…
Montrez moi tous les dans tous les
