Meilleur premier rôle masculin : Emmanuel Macron.
Meilleur premier rôle féminin : malgré des efforts méritoires pour la parité, aucune femme ne se détache clairement.
Meilleur espoir masculin : Alexis Corbière.
Meilleur espoir féminin : Sylvie Goulard (pour son sens de la probité).
Grand prix de la mise en scène : Emmanuel Macron, pour le Louvre, les Champs-Élysées, Versailles. Entre autres.
Meilleur dialoguiste : Jean-Luc Mélenchon, avec mention spéciale pour les « pudeurs de gazelles » et malgré ses navrantes interventions à propos du « matheux » Cédric Villani et contre le drapeau européen.
Meilleur scénario : François Fillon, pour sa maîtrise parfaite de l’art du suspens et du rebondissement.
Encouragements : NKM et Philippe Poutou, pour nous avoir intéressés et émus.
Meilleur costume : François Fillon, à l’unanimité du Jury.
Meilleure adaptation : Olivier Faure et Delphine Batho, qui ont assumé sans ciller leur fidélité au PS, en menant une campagne digne.
Meilleur court-métrage : Nicolas Sarkozy.
Meilleur documentaire : François Hollande pour son (très long) reportage L’Élysée vu de l’intérieur.
Meilleure oeuvre de fiction : Benoît Hamon.
Prix spécial du jury : Alain Juppé pour l’ensemble de son oeuvre.
Pire scénario : Nicolas Dupont-Aignan, sans commentaire.
Pire rôle masculin : François Fillon, également sans commentaire.
Pire rôle féminin : Marine Le Pen, toujours sans commentaire.
Meilleur désespoir masculin : François Baroin, pour son sens aigu du contretemps.
Meilleur désespoir féminin : Farida Amrani, pour son élégance dans la défaite contre Manuel Valls.
Le jury de TC tient à remercier les nombreux figurants, aux premiers rangs desquels Pénélope Fillon, la Conférence des évêques de France et les ineffables militants de Sens commun.
SOPHIE BAJOS DE HÉRÉDIA ET CHRISTINE PEDOTTI
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